QUAND LA KINESIOLOGIE PSYCHO-ENERGETIQUE ECLAIRE LE CHEMIN DE LA SEPARATION

II / QUAND LA KINESIOLOGIE PSY

La place du doudou chez l’enfant                                       

C'est un objet, c'est un sujet, la symbolique qu'on peut y mettre dedans.                Peut-on se séparer de Doudou et se construire une identité d'adulte sereine ?            La relation avec l'autre ?

“L’APPROCHE DU DOUDOU”

** Doudou, attachement et identité : « Grandir sans se perdre »

 

1/ Quand la kinésiologie psycho-énergétique éclaire le chemin de la séparation

Le doudou n’est jamais simplement un tissu doux ou une peluche sans âge. Il est la première ancre. Celui qui rassure quand la mère s’éloigne, celui qu’on serre contre soi quand l’inconnu surgit. Il porte l’odeur de la maison, les pleurs du soir, les câlins manqués parfois. Objet transitionnel, il est un passage entre le dedans et le dehors, entre soi et l’autre.

Mais que se passe-t-il :

Quand il faut s’en séparer
Quand il s’efface,                                                                                                            Quand il disparaît, ou, Quand l’adulte en devenir le range dans une boîte, croit-on, "pour de bon"?                                                                                                                                                       

2/ Peut-on se construire une identité d’adulte sereine sans son doudou ?

Cette question en apparence naïve en cache une autre, bien plus vaste :
« Comment vit-on la séparation » ?
Comment garde -t- on en soi ce qui nous a protégés, sans y rester prisonnier ?
Et surtout : « comment l’enfant intérieur », parfois encore tapi dans un recoin du corps, peut-il « être entendu, réparé, reconnu » ?

 

3/ Le corps comme mémoire du lien

Les histoires de doudou sont parfois finies depuis longtemps. Mais le corps, lui, se souvient. Il garde trace de ce lien premier : sécure ou non, suffisant ou non, stable ou non.


C’est là que la
kinésiologie psycho-énergétique devient un allié précieux.          Parce qu’elle ne parle pas à la tête, mais au corps :

- Au corps qui a ressenti l’abandon.                                                                                   - À celui qui a intégré le manque.                                                                                      - À celui qui a appris que le lien pouvait être fragile.

Grâce au test musculaire (MI), le praticien interroge cette mémoire silencieuse.
Il ne cherche pas à raviver la douleur, mais à en libérer l’empreinte.
On remonte alors, non pas pour “comprendre”, mais pour “réparer”, pour rétablir” “une sécurité intérieure que l’enfant n’a pas toujours eue.

 

4/ Réhabiliter, honorer, laisser partir

Le doudou, objet transitionnel, est souvent chargé d’une forte charge émotionnelle inconsciente. Il incarne non seulement un lien sécurisant avec la mère ou la figure d’attachement, mais aussi une part enfouie de notre histoire : insécurités, besoins non exprimés, peurs, compensations. Lorsqu’on s’en sépare (volontairement ou non), le corps et le système émotionnel enregistrent cette “perte”, parfois de manière invisible, et cela peut laisser des traces.

C’est là que la kinésiologie psycho-énergétique entre en jeu :
Elle permet d’aller chercher dans le corps les mémoires émotionnelles cristallisées, souvent depuis l’enfance, et de les libérer sans avoir à les revivre douloureusement.

 Pourquoi est-ce pertinent ?

  • Parce que le doudou n’est jamais "juste un objet".                                           Il est souvent la "porte d’entrée" vers un monde plus profond.

  • Parce qu’on ne coupe pas le lien d’attachement d’un coup de ciseaux :               il se transforme, s’intègre, se digère.

  • Parce que le corps garde la mémoire, même quand la tête a "oublié".

La kinésiologie, en travaillant avec le test musculaire, permet d’accéder à ces informations non verbales, pré - verbales parfois. Et de faire le lien entre une difficulté actuelle (ex : trouble du lien, anxiété, dépendance affective, besoin de contrôle, etc.) et un attachement ancien non résolu.    

                                      

5/ Une voie douce vers l’adulte apaisé

- La kinésiologie ne dit pas : "oublie ton doudou".                                                    
- Elle dit : "reprends ce qu’il t’a donné et libère - toi du reste."  - Elle propose une voie douce et profonde pour redonner au doudou son rôle       symbolique : un passage, pas une dépendance”.                                                                                       - C’est une manière de grandir, en intégrant, pas niant.                                       - De devenir adulte, en retrouvant le fil de l’attachementplutôt qu’en le coupant net.
Et peut-être, alors, de mieux entrer en lien avec l’autre, avec moins d’attente,                                                                                                        avec moins de peur,                                                                                                            avec plus de présence…

 

 

 

 

 

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Anxiété de séparation chez l’enfant : quand le lien devient tension… et comment la KPE peut apaiser les émotions

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